Les avocats français disent que le duc et le duc et la duchesse de Cambridge ne méritaient pas un paiement de 100 000€ pour les photos topless de Kate – parce que Meghan Markle a posé pour des photos shoots sexy.
Le duc et la duchesse de Cambridge ont reçu un gros paiement après que des images de Kate prenant un bain de soleil sur une terrasse aient été publiées par le magazine français Closer en septembre 2012.
La vidéo «Grilling n’a jamais semblé si chaude avec Meghan Markle», réalisée pour le magazine Men’s Health en 2013, montre Meghan en train de retirer sa chemise pour l’appareil photo avant de poser en short tout en faisant griller des hamburgers. L’appel contre le versement des 100 000 € se déroule en ce moemnt devant la cour d’appel de Versailles.
La preuve peut également inclure des images prétendument représentant la Duchesse de Sussex découvrant sa poitrine devant la caméra sur une plage, prises avant de rejoindre la famille royale. Alors que les sources de Kensington Palace exigent que les photographies ont été modifiées – et peut-être volées – elles sont généralement disponibles sur le web.
L’équipe juridique utilisera prétendument d’autres images provocantes de Meghan Markle, par exemple, des photos de sous-vêtements et des scènes d’amour de sa carrière d’actrice.
L’avocat de Closer, Paul-Albert Iweins, affirme que les amendes ont été «exagérées pour une simple affaire de confidentialité», dans laquelle les amendes françaises représentent souvent une somme symbolique de «moins de 100 euros». Les avocats des personnes reconnues coupables indiquent que les jeunes Royaux agissent progressivement comme des célébrités, cherchant l’attention des médias comme les artistes et les vedettes de jeux.
« Ils sont contents d »avoir des photos sexy d’eux-mêmes quand ils ont le contrôle, mais ils réclament d’énormes sommes d’argent quand elles ne sont pas autorisés », a déclaré une source juridique impliquée dans l’affaire.
En ce qui concerne les images d’une duchesse topless de Cambridge, six accusés ont comparu devant le tribunal de Nanterre, en banlieue parisienne, en septembre dernier, après cinq ans de procédures judiciaires.
Les juges ont ordonné au magazine français Closer de payer la majorité des dommages liés aux photos de Kate et William se reposant dans un château de Provence appartenant au comte de Snowdon, le fils de la défunte princesse Margaret, en septembre 2012.
L’objectif du paparazzi avait immortalisé Kate portant exclusivement un petit maillot de maillot de bain, avec William appliquant de la crème solaire sur la peau de sa femme. Le rédacteur en chef du magazine Closer, Laurence Piea, 51 ans, et Ernest Mauria, le chef des Mondadori, âgé de 71 ans, qui les distribue, ont été condamnés à une amende de 50 000 euros chacun.
Les photographes qui nient encore avoir pris les photos ont également été condamnés à une amende qui pourrait aussi bien être revue de 10 000 € chacun après que William aie montré des images montrant les paparazzi.
William et Kate avaient demandé une compensation de 1 million d’euros, mais après le décision de Nanterre, un représentant de Kensington Palace a déclaré qu’ils considéraient l’affaire close.
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