Ce mardi 29 septembre, la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, a annoncé la
« fin progressive » des animaux sauvages dans les cirques. Une décision qui a provoqué l’indignation de Stéphanie de Monaco.
Stéphanie de Monaco est contre la fin des cirques animaliers
Ce mardi 29 septembre, Barbara Pompili a annoncé plusieurs mesures pour le bien-être des animaux sauvages.
Une victoire pour tous les militants et défenseurs des animaux qui se battent depuis plusieurs années pour défendre leur cause.
La ministre de la Transition écologique a ainsi indiqué la « fin progressive » des animaux sauvages dans les cirques itinérants, mais aussi la fin des orques et des dauphins en delphinariums, ainsi que la fin des élevages de visons à fourrure.Cependant, ces mesures n’ont pas l’air de plaire du tout à Stéphanie de Monaco.mettre fin aux cirques animaliers : « C’est le cirque traditionnel.
En effet, la princesse de 55 ans a fait savoir dans Nice-Matin qu’elle était contre la décision du gouvernement deCelui qui fait partie de nos traditions culturelles.
J’estime qu’il ne faut pas faire une généralité », a-t-elle déclaré.
Stéphanie de Monaco s’indigne contre la décision du gouvernement
Tout comme son père Rainier III, Stéphanie de Monaco a toujours eu une passion pour les animaux.
La princesse du Rocher est même la présidente du Festival international du cirque de Monte-Carlo.
Dans le quotidien Nice-Matin, elle s’est insurgée contre l’interdiction des animaux sauvages dans les cirques, annoncée par le gouvernement.La princesse assure que ces animaux ne sont pas maltraités : « Ce sont des membres de la famille.
Ils ne sont pas dressés ni maltraités, ils sont juste aimés. Nourris. Choyés ».Stéphanie de Monaco s’est également fait porte-parole des gérants de cirque « qui ne prennent pas de vacances, qui vivent pour leurs animaux ».
Pour la soeur du prince Albert, le gouvernement ne va pas au bout des choses en pénalisant seulement une partie des travailleurs au contact d’animaux : « J’ajoute qu’en France, tout le monde a le droit de travailler.
Ou alors, il faut empêcher les agriculteurs de se faire de l’argent avec l’élevage.Empêcher aussi le tiercé, parce que là aussi, c’est de l’exploitation animalière.
Il faut tout interdire, et non pas seulement s’acharner sur les familles de cirque. Le cirque a changé, il vit avec son temps. Si l’on veut s’occuper de la condition animale, alors il faut s’en occuper complètement », a-t-elle indiqué.
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