Regardez ce gardien d’un parc animalier se battre contre un kangourou pour sauver un chien :
Un groupe de chasseur s’est rendu au parc de Dubbo Western Plains, en Australie. Kailem était l’un deux. Il est atteint d’un cancer des os et son voeux le plus cher était d’attraper un sanglier avec l’aide de ses chiens de chasse.
L’un des chiens suivait alors la piste du cochon sauvage mais il s’est retrouvé nez à nez avec un énorme kangourou. Ce dernier a sauté sur le chien et s’est mis à l’attaquer. Kailem était horrifié. Il a tenté de s’interposer pour sauver son chien, mais rien n’y faisait.
C’est alors que le gardien du parc, Greg Tonkins, est intervenu. Il n’avait qu’une seule solution pour sauver le chien de chasse : attaquer le kangourou. Il s’est mis en position de boxeur devant l’animal sauvage et l’a frappé au visage.
« Il s’est reculé pour laisser un peu d’espace au kangourou, mais comme le kangourou se rapprochait de lui, il l’a frappé sur le museau.” a déclaré un membre de la famille de Kailem.
« Kailem n’a ressenti aucune haine envers le kangourou, mais il a dû intervenir avant que la situation ne s’aggrave pour son chien. »
Malheureusement, le jeune homme a perdu son courageux combat contre le cancer il y a deux jours. Cette chasse fait donc partie des souvenirs précieux de sa famille et de ses amis.
La vidéo de ce combat étrange entre un homme et un kangourou a été publiée sur les réseaux sociaux et les avis des internautes étaient très divisés à son sujet. Certains ont critiqué Greg pour avoir frappé un animal alors que d’autre le défendait car il réussit à en sauver un autre.
Certains internautes ont demandé le renvoi de Greg, mais dans un communiqué, le parc a déclaré : « Bien que Taronga n’approuve en aucun cas que l’on frappe des animaux, nous souhaitons remercier toutes les personnes qui ont soutenu M.
Tonkins et vous confirmer que nous n’avons aucunement l’intention de le voir perdre son emploi dans cette affaire.
« M. Tonkins est un passionné et est un membre précieux de l’équipe de Taronga depuis plus de six ans. Nous continuons à le conseiller à mesure que cet événement et l’attention des médias se développent. »